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Perte de cheveux chez la femme
La perte de cheveux touche de nombreuses femmes à différents moments de leur vie, parfois de manière soudaine ou progressive. Ce phénomène, souvent source d’inconfort ou d’anxiété, peut avoir des origines variées : déséquilibres hormonaux, stress chronique, carences nutritionnelles, maladies auto-immunes ou traitements médicaux lourds. Comprendre la cause exacte est essentiel pour mettre en place une solution adaptée.
Heureusement, il existe aujourd’hui des traitements efficaces, médicaux ou naturels, qui permettent de freiner la chute, stimuler la repousse et retrouver une chevelure dense, forte et en bonne santé.
La chute de cheveux chez les femmes peut avoir de multiples origines. L’alopécie androgénétique féminine, forme la plus courante, est liée à une sensibilité des follicules pileux aux hormones mâles (androgènes) produites naturellement par le corps et les glandes surrénales. Contrairement aux hommes, cette forme d’alopécie se manifeste généralement par une perte de densité diffuse au niveau du cuir chevelu, plutôt qu’une calvitie localisée.
Les bouleversements hormonaux jouent également un rôle majeur dans la perte des cheveux. La grossesse et l’accouchement provoquent souvent une chute importante appelée effluvium télogène, lorsque de nombreux follicules entrent simultanément en phase télogène (phase de repos). La ménopause, avec ses fluctuations hormonales, peut aussi affecter la santé capillaire.
Le stress, qu’il soit physique ou émotionnel, représente une autre cause fréquente. Un événement traumatisant peut provoquer une chute importante quelques mois après. Les médicaments, notamment certains traitements contre le cancer, peuvent également être à l’origine d’une perte capillaire.
Des problèmes de santé comme les troubles thyroïdiens, l’anémie ou la carence en fer affectent le cycle de croissance des cheveux. Certaines maladies auto-immunes comme la pelade ou le lichen plan pilaire peuvent aussi entraîner une chute localisée ou diffuse. Enfin, une alimentation déséquilibrée, pauvre en vitamines et acides aminés essentiels, peut fragiliser le cuir chevelu.
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Une ligne frontale retrouvée et des temps reconquises
Femme de 38 ans
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Plus qu'une greffe capillaire, un changement de vie pour notre patiente
Élodie (vue zénithale)
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Une vue complémentaire, du dessus, sur la greffe capillaire avec rasage partiel qui a changé la vie d'Élodie
Il est normal de perdre entre 50 et 100 cheveux par jour. Cependant, si vous constatez que ce nombre est supérieur ou que votre cuir chevelu perd des cheveux de façon importante, il peut s’agir d’une chute anormale.
Plusieurs signes doivent vous alerter. Une perte de densité visible, particulièrement au niveau du sommet du crâne ou de la raie des cheveux qui s’élargit, constitue un indicateur important. Vous pouvez également remarquer un amincissement général de votre chevelure, avec des cheveux qui semblent moins volumineux qu’auparavant.
L’observation du cycle de vie de vos cheveux est essentielle. Si vous constatez que vos cheveux tombent avant d’avoir atteint leur longueur habituelle, ou si vous trouvez une quantité inhabituelle de cheveux sur votre oreiller, dans votre brosse ou dans la douche, cela peut indiquer un problème.
La qualité des cheveux qui tombent est également révélatrice. Des cheveux qui se cassent facilement, qui paraissent plus fins ou qui présentent un bulbe blanc visible à leur extrémité peuvent signaler une perturbation du cycle capillaire. Une chute localisée créant des zones dégarnies spécifiques, comme dans l’alopécie de traction ou la pelade, nécessite une attention particulière.
Si ces symptômes persistent plus de trois mois, il est recommandé de consulter un médecin pour établir un diagnostic précis et identifier l’origine du problème.
Face à la chute des cheveux chez les femmes, plusieurs traitements peuvent être envisagés selon la cause identifiée. Les traitements médicamenteux, prescrits par un médecin après diagnostic, agissent souvent sur les hormones ou stimulent directement les follicules pileux pour favoriser la croissance capillaire.
Les injections de facteurs de croissance, comme le PRP (Plasma Riche en Plaquettes), constituent une solution innovante. Ce traitement utilise les propres plaquettes de la patiente pour stimuler la régénération des follicules et améliorer la santé du cuir chevelu.
La mésothérapie capillaire est également efficace pour lutter contre la perte de cheveux. Cette technique consiste à injecter des vitamines, minéraux et autres substances nutritives directement dans le cuir chevelu pour nourrir les follicules pileux et stimuler leur activité.
Dans les cas d’alopécie avancée, la greffe de cheveux peut être envisagée. Cette intervention chirurgicale consiste à prélever des follicules pileux dans une zone du cuir chevelu encore dense (généralement à l’arrière du crâne) pour les implanter dans les zones dégarnies. Les techniques modernes comme la FUE avec lame saphir offrent des résultats naturels avec une récupération rapide.
Les compléments alimentaires spécifiques peuvent aussi aider à freiner la chute en apportant les nutriments essentiels à la croissance des cheveux. Enfin, certains produits topiques enrichis en actifs stimulants peuvent améliorer la santé capillaire lorsqu’ils sont utilisés régulièrement.
Adopter une alimentation équilibrée est fondamental pour maintenir la bonne santé de vos cheveux. Privilégiez les aliments riches en fer, zinc, vitamines B et protéines qui jouent un rôle essentiel dans le cycle de croissance capillaire. Les acides gras oméga-3, présents dans les poissons gras et les noix, contribuent également à la nutrition du follicule pileux.
Limitez les agressions physiques sur votre chevelure. Évitez les coiffures trop serrées qui peuvent provoquer une alopécie de traction. Réduisez l’utilisation d’appareils chauffants comme les fers à lisser ou les sèche-cheveux à température élevée. Espacez les colorations et traitements chimiques qui fragilisent la fibre capillaire.
La gestion du stress est primordiale car il peut directement affecter le cycle de vie du cheveu. Intégrez à votre quotidien des techniques de relaxation comme le yoga, la méditation ou l’activité physique régulière. Un sommeil de qualité contribue également à la bonne santé de votre cuir chevelu.
Vous vous interrogez sur l’origine de votre chute de cheveux ou sur le type d’alopécie dont vous souffrez ? Grâce à notre outil de diagnostic en ligne gratuit, obtenez en quelques clics une première évaluation personnalisée. Ce test simple vous aide à faire le point sur votre situation et à identifier les solutions possibles, en toute confidentialité.
Bonne nouvelle : dans la majorité des cas, oui !
La réversibilité dépend de la cause et de la précocité de la prise en charge. Si les follicules pileux sont encore présents mais inactifs, des traitements adaptés peuvent stimuler une nouvelle croissance capillaire.
De nombreuses solutions sont possibles.
L’huile de ricin, les masques à base d’aloe vera ou les rinçages à l’eau de romarin peuvent stimuler la croissance. Les compléments à base de prêle, de levure de bière ou d’ortie sont également bénéfiques pour renforcer la fibre capillaire.
Non, le mécanisme est souvent différent même si certaines causes peuvent se recouper.
Non, le mécanisme est souvent différent même si certaines causes peuvent se recouper.
Chez les hommes, la perte est généralement liée à l’alopécie androgénétique, une hypersensibilité des follicules aux hormones masculines. Cette forme de chute est souvent localisée (golfes, tonsure). Chez les femmes, la perte est plus diffuse et peut être influencée par de nombreux facteurs : déséquilibres hormonaux, carences, stress ou complément alimentaire inadapté.
Certaines habitudes, comme les queues de cheval trop serrées, peuvent aussi perturber le cycle capillaire et raccourcir la phase de croissance (ou phase anagène), augmentant ainsi le nombre de cheveux perdus chaque jour.