

Tricopigmentation
Calvitie héréditaire
La calvitie héréditaire, ou alopécie androgénétique, est la forme la plus fréquente de perte de cheveux chez les hommes. Elle touche aussi les femmes, bien que différemment. D’origine génétique, elle évolue progressivement mais peut être ralentie, voire corrigée, grâce à des traitements adaptés et un accompagnement médical personnalisé.
La calvitie héréditaire est liée à une prédisposition génétique impliquant plusieurs gènes. Contrairement à une idée reçue, elle n’est pas uniquement transmise par la mère. Les études ont identifié plus de 60 marqueurs génétiques, répartis sur différents chromosomes, dont le chromosome X hérité de la mère, mais aussi ceux transmis par le père.
Parmi les gènes impliqués, celui du récepteur aux androgènes joue un rôle central. Il rend les follicules pileux sensibles à la dihydrotestostérone (DHT), une hormone dérivée de la testostérone. Cette sensibilité entraîne une miniaturisation progressive des follicules, réduisant la durée de vie des cheveux et leur phase de croissance.
Le diagnostic repose sur un examen clinique du cuir chevelu et une analyse de l’historique familial. Chez les hommes, la calvitie commence souvent par un recul des tempes ou une perte au sommet du crâne, selon la classification de Norwood. Chez les femmes, elle se manifeste par un éclaircissement diffus.
Le médecin évalue plusieurs éléments : âge d’apparition, schéma de chute, antécédents familiaux, et élimine d’autres causes possibles de perte de cheveux. Une trichoscopie peut être réalisée pour observer les follicules et confirmer leur miniaturisation.
Des analyses sanguines peuvent compléter le diagnostic afin d’écarter des carences ou troubles hormonaux. Cette approche globale permet de poser un diagnostic fiable et d’orienter vers les traitements les plus adaptés.
Il n’est pas possible de prévenir totalement la calvitie héréditaire, mais il est possible d’en ralentir l’évolution. Plus les traitements sont commencés tôt, meilleurs sont les résultats. L’objectif est de prolonger la vie des follicules pileux et de maintenir une densité capillaire satisfaisante.
Le minoxidil et le finastéride sont les deux traitements médicamenteux les plus utilisés. Le premier stimule la circulation sanguine au niveau du cuir chevelu, tandis que le second bloque la conversion de la testostérone en DHT. Leur efficacité est optimale lorsqu’ils sont prescrits dès les premiers signes de chute.
Une alimentation équilibrée, riche en vitamines et minéraux, ainsi qu’une bonne hygiène de vie (réduction du stress, arrêt du tabac) contribuent également à préserver la santé capillaire. Des traitements comme la mésothérapie ou les facteurs de croissance peuvent renforcer cette action préventive.
Les traitements varient selon le stade de l’alopécie et les attentes du patient. En première intention, les traitements médicamenteux comme le finastéride et le minoxidil sont souvent proposés. Ils permettent de ralentir la chute et de stimuler la repousse.
Lorsque la perte de cheveux est plus avancée, la greffe capillaire devient une solution durable. Racine Carrée pratique la technique FUE (Follicular Unit Extraction), qui consiste à prélever les follicules un par un dans la zone donneuse pour les réimplanter dans les zones dégarnies. Cette méthode offre des résultats naturels et définitifs, sans cicatrice visible.
En complément ou en alternative, des traitements comme la mésothérapie capillaire, les injections de facteurs de croissance ou la luminothérapie LED peuvent être proposés. Pour les personnes non éligibles à la greffe, la tricopigmentation permet de créer une illusion de densité capillaire.
Tricopigmentation
Alexandre
Formule 3 — 3000 greffons — 3500€
Il ne s'est pas trompé en choisissant Racine Carrée. Un rendu déjà phénoménal 6 mois avant la date du résultat final.
Olivier
Formule 3 — 3000 greffons — 3500€
Après 12 mois, les résultats définitifs (et sublimes) d'une greffe de cheveux FUE réalisée chez Racine Carrée
Anthony
Formule 3 — 3000 greffons — 3500€
Anthony et son frère jumeau Damien ont réalisé leur greffe simultanément. Le résultat ? Un double succès !
Gaétan
Formule 3 — 3000 greffons — 3500€
Après seulement 6 mois, un rendu spectaculaire qui a surpassé toutes ses attentes.
Élodie
Formule 2 — 2000 greffons — 2750€
L'alopécie féminine est particulièrement dure à vivre. Réalisée avec rasage partiel, sa greffe a effacé ses complexes.
L’alopécie androgénétique touche les deux sexes, mais de manière différente. Chez les hommes, elle suit un schéma typique : recul des tempes, tonsure, puis extension vers l’avant. Chez les femmes, la perte est plus diffuse, avec un éclaircissement du dessus de la tête, sans perte complète.
Ces différences s’expliquent par des facteurs hormonaux et une sensibilité génétique différente. Les femmes produisent moins d’androgènes, ce qui limite l’impact de la DHT. Le traitement doit donc être personnalisé : le minoxidil est souvent privilégié, tandis que le finastéride est contre-indiqué chez les femmes en âge de procréer.
D’autres options comme les traitements hormonaux anti-androgènes peuvent être envisagées, toujours sous supervision médicale. Chez Racine Carrée, chaque protocole est adapté à la situation hormonale et capillaire de la patiente.
Chez de nombreux hommes, la calvitie androgénétique suit un schéma typique, mais son expression dépend d’une combinaison complexe de facteurs génétiques. Certaines études ont mis en évidence un lien entre ce type de calvitie et des variantes présentes sur plusieurs chromosomes, notamment le chromosome X (hérité de la mère), mais aussi d’autres gènes transmis par le père.
Ainsi, même si la calvitie est-elle fortement héréditaire, elle ne se limite pas à une simple transmission par le côté maternel. Ce mélange d’influences explique pourquoi deux frères peuvent présenter une chute de cheveux très différente. Cela montre aussi que le risque ne peut pas être estimé sur un seul critère familial.
Lorsque la chute des cheveux s’amorce, notamment au niveau des tempes, elle peut évoluer rapidement si rien n’est entrepris. Le cycle de vie des cheveux est perturbé par l’action des hormones, et chaque jour compte dans la stratégie à adopter.
Même s’il n’existe pas de remède miracle contre la calvitie, il est possible de lutter contre sa progression avec des approches personnalisées. Certains choisissent de faire une greffe de cheveux, d’autres préfèrent miser sur des traitements contre la calvitie plus doux ou non invasifs. L’essentiel est d’agir en fonction de votre profil et de vos attentes.
Sur notre site, vous trouverez un accompagnement complet et des conseils adaptés à chaque situation, homme ou femme, pour lutter contre la perte de cheveux de manière efficace et durable.
Non, l’âge de début varie beaucoup.
Certaines personnes commencent à perdre leurs cheveux dès 18 ans, d’autres bien plus tard. Cette variabilité dépend de la charge génétique, mais aussi de facteurs comme le stress, l’alimentation ou les habitudes de vie.
Ils n’ont pas d’impact sur la cause génétique.
Les shampoings ou soins capillaires ne peuvent ni provoquer ni soigner une calvitie héréditaire. En revanche, des produits adaptés peuvent améliorer l’aspect des cheveux existants et maintenir un cuir chevelu sain.
Oui, il peut accélérer la chute.
Le stress chronique perturbe le cycle capillaire et peut accentuer la perte de cheveux chez les personnes génétiquement prédisposées. Une prise en charge globale, incluant la gestion du stress, est souvent bénéfique.