Un peu
Greffe de Cheveux - Formule 1
500 à 1 000 greffons
≃ 1 250 à 2 000 cheveux
Intervention sur une journée
2 000 €
Greffe de cheveux chez la femme
Chez la femme, la perte de cheveux est souvent difficile à vivre, entre variations hormonales, pressions esthétiques et tabous persistants. Si beaucoup d’alopécies sont passagères, certaines formes marquées et durables nécessitent une greffe capillaire.
Chez Racine², cette intervention est pensée sur mesure, avec rigueur médicale et exigence esthétique.
Greffe FUE Lame Saphir ou Choï
Des résultats esthétiques, naturels et durables
Greffe sans rasage proposée dès que possible
+5.000 patient.es satisfait.es
Confiance retrouvée100% dédié au capillaire
Qualité maxi, Tarif miniProfondément humain
Écoute, Faible douleurLa greffe capillaire consiste à prélever des follicules sur une zone dense du cuir chevelu, généralement à l’arrière ou sur les côtés, pour les réimplanter dans les zones clairsemées. Chez la femme, cette technique demande une approche plus fine et plus personnalisée.
La perte est souvent diffuse, mais particulièrement visible, notamment au niveau de la raie centrale, surtout sur cheveux longs. Cela constitue une source fréquente de gêne, parfois plus difficile à vivre que chez l’homme. La forme de la ligne frontale est aussi plus variable et doit être respectée avec beaucoup de précision : arrondie, en M, droite… chaque patiente a sa propre harmonie.
Le rasage total étant souvent un frein, nous privilégions autant que possible une greffe sans rasage ou avec rasage partiel, selon le type de cheveux et la zone à traiter. Un soin extrême est apporté à la sélection et à l’implantation des greffons : finesse du cheveu, nombre de cheveux par follicule, densité, orientation, angle… Chaque paramètre compte pour un résultat à la fois naturel et indétectable.
Chez Racine², nous considérons que la réussite d’une greffe capillaire chez la femme repose autant sur le savoir-faire médical que sur une vraie maîtrise esthétique.
Le tarif d’une greffe capillaire chez la femme varie selon la technique utilisée, l’étendue de la zone dégarnie, et le nombre de cheveux à implanter. Chaque plan de traitement est unique, défini après une évaluation médicale complète du cuir chevelu. Chez Racine², nos greffes de cheveux débutent à 2000€, une révolution pour les implants capillaires parisiens.
Un peu
Greffe de Cheveux - Formule 1
500 à 1 000 greffons
≃ 1 250 à 2 000 cheveux
Intervention sur une journée
2 000 €
Beaucoup
Greffe de Cheveux - Formule 2
1 200 à 1 800 greffons
≃ 3 000 à 4 500 cheveux
Intervention sur une journée
2 750 €
À la folie
Greffe de Cheveux - Formule 3
2 000 à 3 000 greffons
≃ 5 000 à 7 500 cheveux
Intervention sur une journée
3 500 €
Encore plus ?
Greffe de Cheveux sur mesure
Nombre de greffons en fonction de la zone donneuse
Intervention sur une journée
sur devis
La chute de cheveux féminine peut avoir des origines variées. Comprendre la cause exacte est indispensable avant d’envisager une greffe capillaire. Chaque situation nécessite un diagnostic individualisé, car le type d’alopécie, la qualité du cuir chevelu et le profil hormonal influencent directement la stratégie médicale.
C’est la cause la plus fréquente. Elle touche progressivement le sommet du crâne, avec un affinement des cheveux au niveau de la raie centrale, sans chute massive. Elle est liée à une sensibilité hormonale des follicules pileux. La classification de Ludwig permet d’en évaluer le stade. Ce type d’alopécie peut bénéficier d’une greffe capillaire, si la chute est stabilisée et que la zone donneuse est suffisante.
Les troubles de la thyroïde, la ménopause, la grossesse ou l’arrêt de contraception peuvent fortement perturber le cycle de croissance des cheveux. La chute peut être temporaire, mais elle devient problématique si elle persiste. Un bilan médical est souvent nécessaire pour exclure toute contre-indication à une technique de greffe.
Un manque de fer, de zinc, de vitamine D ou B12 peut fragiliser la fibre capillaire, ralentir la régénération des cellules du cuir chevelu, et provoquer une chute diffuse. Ce type de perte est généralement réversible, mais un traitement médical est requis avant toute discussion autour des implants capillaires.
Le stress chronique peut déclencher ou aggraver la chute de cheveux, notamment sous forme d’effluvium télogène. Par ailleurs, certaines maladies auto-immunes comme l’alopécie areata (pelade) peuvent provoquer des zones clairsemées localisées. Un diagnostic précis est indispensable avant d’envisager une implantation capillaire.
Les coiffures trop serrées, les extensions répétées ou les défrisages peuvent entraîner une alopécie de traction. Cette chute est localisée, souvent autour des tempes ou de la ligne frontale. Si elle est ancienne et stable, une greffe FUE sans rasage complet avec CHOI ou lame Saphir peut permettre une reconstruction naturelle des zones dégarnies.
L’endométriose, bien qu’étant une maladie gynécologique, peut elle aussi avoir un impact indirect sur la santé capillaire. Certains traitements hormonaux prescrits pour la soulager, notamment les analogues de la GnRH ou certaines pilules à action prolongée, peuvent fragiliser la chevelure. Associés à une inflammation chronique de l’organisme, ces facteurs contribuent parfois à une chute diffuse des cheveux chez les femmes, en particulier sur le haut du crâne.
Chez la femme, la greffe de cheveux n’est jamais proposée en première intention. La grande majorité des alopécies féminines peuvent être traitées efficacement grâce à des solutions médicales non invasives : cures de mésothérapie capillaire, injections de facteurs de croissance (PRP) ou séances de luminothérapie LED. Ces traitements sont particulièrement indiqués dans le cas d’alopécies saisonnières, passagères ou diffuses.
La greffe capillaire, quant à elle, n’est envisagée que dans des cas bien précis : lorsque la perte est massive, localisée et surtout définitive, comme dans certaines formes d’alopécie androgénétique ou après un traumatisme (cicatrices post-chirurgicales, brûlures, etc.). Même dans ces situations, elle ne peut être réalisée que si la chute est stabilisée, que la zone donneuse est suffisante, et que les attentes sont réalistes.
Enfin, si les traitements ne permettent pas de restaurer une densité satisfaisante dans certaines zones clairsemées et que la greffe n’est pas possible ou souhaitée, la tricopigmentation (ou dermopigmentation capillaire) peut offrir une excellente alternative. Elle permet de redensifier visuellement les zones où les cheveux se sont espacés tout en conservant un résultat naturel, à condition qu’il reste des cheveux sur la zone traitée.
Chez Racine², nous privilégions, lorsque l’intervention le permet, l’utilisation du stylet Choï pour les cheveux longs. Cet outil permet d’implanter les greffons un à un avec une grande précision, sans incision préalable visible, et avec un geste plus délicat adapté aux exigences esthétiques. Cela offre un contrôle précis de l’angle, de la profondeur et de la direction de chaque cheveu, pour un rendu naturel et une densité harmonieuse. Cette technique est particulièrement adaptée aux femmes, car elle permet dans certains cas de conserver une bonne partie de la chevelure intacte, sans rasage complet.
Nous utilisons également la FUE Saphir lorsque le projet le nécessite, notamment si la surface à couvrir est plus importante ou que la greffe se fait sur des cheveux afros. Là encore, les prélèvements sont réalisés unitairement, avec un punch très fin, pour éviter toute cicatrice visible. Le choix de la méthode se fait toujours en concertation avec la patiente, en fonction de ses attentes, de son cuir chevelu et de la stratégie médicale.
Le processus débute par une consultation de diagnostic capillaire approfondie, durant laquelle le médecin examine la chevelure, évalue la densité de la zone donneuse et vérifie la stabilité de la chute. Cette étape permet aussi de définir les attentes esthétiques et de proposer, si les conditions sont réunies, une intervention sur mesure.
Le jour de la greffe capillaire, l’intervention est réalisée sous anesthésie locale, sans douleur. Elle dure généralement entre quatre et sept heures, selon la zone à traiter et en fonction du nombre d’unités folliculaires à greffer. Une fois les greffons implantés, la patiente peut rentrer chez elle le jour même.
Un protocole de consignes post-opératoires est remis, avec un premier contrôle prévu dès le lendemain. Inclus également dans votre prestation, 3 consultations de suivi à 1, 6 et 12 mois et la mise à disposition d’une ligne directe et dédiée.
La repousse s’amorce à partir du troisième mois et se poursuit progressivement. Le résultat final est généralement visible entre 12 et 18 mois.
Le résultat d’une greffe de cheveux chez la femme doit être subtil, naturel, adapté. Il ne s’agit pas de densifier excessivement, mais d’harmoniser la chevelure, en redonnant de la matière aux zones clairsemées, en adoucissant une ligne frontale ou en renforçant les tempes.
Le rendu dépend de la qualité des cheveux implantés, de la stratégie adoptée, mais aussi des caractéristiques propres à chaque patiente. Une greffe de cheveux FUE bien réalisée s’intègre parfaitement à la chevelure existante, sans démarcation ni effet artificiel.
Enfin, le respect des consignes et donc la qualité du suivi proposé par la clinique jouent un rôle déterminant dans l’obtention du meilleur résultat.
Profondément convaincue par la bienveillance et l’écoute des équipes Racine², Élodie a mis fin à ses complexes en optant pour une greffe de cheveux entièrement personnalisée. Elle a bénéficié d’une transplantation capillaire très localisée qui a permis un rasage partiel — une solution idéale pour préserver l’apparence, notamment chez les femmes.
Formule 2 : 2000 greffons, 2750 €
Zéro douleur
Greffe sur cheveux longs avec rasage partiel
Toutes nos greffes de cheveux
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Comme tout acte de médecine esthétique, la greffe capillaire comporte quelques limites. D’abord, elle ne peut être envisagée que si le cuir chevelu présente une zone donneuse viable. En cas d’alopécie androgénétique féminine trop diffuse, ou si la classification de Ludwig indique une perte globale au sommet du crâne, le résultat peut être limité.
Ensuite, la greffe de cheveux implique un temps d’attente : les follicules pileux greffés entrent dans une phase de repos avant de reprendre leur cycle de croissance des cheveux. Il faut généralement patienter 9 à 12 mois pour voir le résultat définitif.
Il ne s’agit pas non plus d’un traitement contre la chute : la greffe FUE, qu’elle soit avec rasage ou sans rasage, n’empêche pas l’évolution naturelle de l’alopécie androgénétique. Un suivi médical peut donc être nécessaire. Enfin, certaines attentes irréalistes, comme retrouver une densité identique à l’adolescence, doivent être recadrées : la greffe améliore, elle ne recrée pas une chevelure complète chez les femmes.
Chez une jeune fille, la greffe capillaire est exceptionnelle. La calvitie féminine à un âge précoce est souvent liée à des causes hormonales, nutritionnelles ou auto-immunes, qui doivent être explorées avant tout projet de greffe capillaire. Dans la grande majorité des cas, des traitements médicaux suffisent à relancer la croissance des cheveux ou à limiter la chute.
Si, exceptionnellement, une greffe est envisagée (par exemple en cas de cicatrice stable ou d’alopécie de traction sévère), elle doit être encadrée par un spécialiste, en accord avec les parents, et après stabilisation complète du trouble. La prise en compte du nombre de cheveux disponibles en zone donneuse, de l’épaisseur du cuir chevelu, et des perspectives d’évolution est primordiale. L’acte ne doit jamais être banalisé, surtout à un âge où la chevelure évolue encore.
Oui, la greffe de cheveux peut donner d’excellents résultats chez la femme, à condition de poser un diagnostic capillaire précis et d’avoir une zone donneuse de bonne densité. Contrairement aux hommes, où la calvitie forme souvent des zones totalement dégarnies, les cheveux pour femme ont tendance à s’affiner de manière diffuse, notamment sur le haut du crâne. Cela nécessite une approche plus fine, et des critères de sélection plus stricts.
La stratégie est toujours définie en fonction du nombre d’unités folliculaires disponibles et de la surface à traiter. La greffe est souvent couplée à des traitements de soutien comme la mésothérapie capillaire, pour optimiser la qualité des nouveaux cheveux sur le long terme.
Oui, la greffe de sourcils est une intervention courante en médecine esthétique, notamment chez les femmes ayant perdu leurs sourcils suite à une épilation excessive, à une cicatrice ou à certaines maladies auto-immunes. Elle consiste à prélever des follicules pileux dans une zone donneuse du cuir chevelu, puis à les réimplanter un par un dans la zone du sourcil, en respectant l’orientation naturelle du poil.
C’est une greffe capillaire de précision, qui demande une maîtrise parfaite de l’implantation capillaire. Elle offre un rendu très naturel lorsqu’elle est bien indiquée et bien exécutée.
Dans certains cas, oui. La greffe FUE sans rasage permet de conserver une bonne partie de la chevelure, en particulier chez les femmes aux cheveux longs. Cette approche est souvent privilégiée pour des interventions localisées, comme la ligne frontale ou les tempes.
Cependant, lorsqu’il faut couvrir une zone dégarnie plus importante, ou implanter un grand nombre de cheveux, un rasage partiel, voire une FUE avec rasage, peut s’avérer nécessaire pour garantir la qualité du prélèvement et de l’implantation. Le choix se fait toujours au cas par cas, en fonction du diagnostic du cuir chevelu, de l’étendue de l’alopécie androgénétique et du rendu recherché.
FAQ greffe de cheveux femme